Questions fréquemment posées
Questions fréquemment posées
Il n'y a actuellement aucun remède connu, bien qu'il y ait eu des rapports isolés de malades déclarant qu'ils sont guéris.
Cette question ne peut pas être répondue de manière concluante. Il est théoriquement possible qu'un arrêt soudain puisse augmenter le risque de développer un PSSD.
Malheureusement non. Même si vous avez arrêté le même médicament ou un médicament du même groupe auparavant sans problème, vous pouvez développer un PSSD si vous recommencez à le prendre.
Oui, il existe depuis longtemps un forum PSSD germanophone (relativement nouveau) et un forum PSSD anglophone. Vous pouvez y échanger des informations de manière anonyme. Nous traitons également vos données de manière confidentielle lorsque vous nous contactez.
Vous pouvez contacter Dr. Signerski-Warrior (Université de médecine de Goettingen).
Il n'y a actuellement aucune connaissance sur le sexe qui est le plus souvent affecté. Les hommes peuvent aller chez le médecin plus rapidement s'ils sont touchés.
Non. D'après les observations que nous faisons dans nos groupes WhatsApp et dans les forums des personnes concernées, on peut déduire que les personnes qui étaient particulièrement satisfaites de leur vie sexuelle avant de prendre la drogue ou qui avaient un plaisir sexuel supérieur à la moyenne sont plus susceptibles de demander de l'aide. pour PSSD -Recherchez les plaintes.
La même chose s'applique ici : aucune déclaration ne peut être faite à ce sujet pour le moment, car on ne sait pas ce qui déclenche le PSSD. Dans le milieu du club, il y a quelques femmes qui ont d'abord développé PGAD puis PSSD après avoir arrêté le médicament. Des rapprochements sont donc possibles, mais devraient être étudiés de plus près.
Le mécanisme d'action exact des différents psychotropes n'a pas été suffisamment étudié. Nous ne savons donc pas exactement ce qui déclenche les médicaments dans le cerveau. Même si, au moins avec les ISRS, le nom seul sonne comme si les médicaments n'agissent que sur le métabolisme de la sérotonine, ce n'est pas correct.
Ne vous découragez pas et ne changez pas de médecin en cas d'urgence. Vous pouvez vous référer à notre association, aux articles sur ZDF et à divers articles sur PSSD. Vous pouvez également télécharger notre lettre d'information et l'apporter avec vous chez le médecin.
Parlez ouvertement avec votre médecin et précisez si un autre médicament vous convient, si possible pas un ISRS/IRSN. Ne vous laissez pas rebuter par l'argument "Je n'ai jamais entendu ça auparavant".
N'arrêtez pas simplement de prendre le médicament. Au lieu de cela, parlez ouvertement avec votre médecin et découvrez si vous pouvez arrêter lentement le médicament ou si vous pouvez passer à un autre médicament, de préférence pas un ISRS/IRSN.
Parlez ouvertement avec votre médecin. Si possible, emmenez votre partenaire ou un autre compagnon avec vous à l'entretien pour vous soutenir.
Informez votre médecin. Si possible, amenez votre partenaire avec vous à l'entretien pour obtenir de l'aide.